Intégrer la section bilangue Anglais-Portugais, une idée qui a du sens !

Le portugais, une langue pour l’avenir !

Le portugais, une langue pour l’emploi

Près de 260 millions de personnes parlent portugais sur 5 continents, dans 9 pays différents. Les locuteurs natifs du portugais seront près de 400 millions à l’horizon de 2050 selon les Nations Unies avec une croissance exponentielle en Afrique.

C’est la 4ème langue maternelle la plus parlée dans le monde et la première dans l’hémisphère Sud, la 2ème langue la plus parlée en Amérique latine, et la 5ème la plus utilisée sur internet.

De nombreuses entreprises françaises (Areva, Accor, Alcatel, Renault, Alstom, Véolia, Carrefour, Axa, etc.) demandent à leurs salariés d’avoir des compétences avérées dans cette langue.

Le Brésil, 8ème puissance mondiale, peuplé de presque 210 millions d’habitants, offre un marché considérable et des opportunités dans de nombreux secteurs phares, notamment pharmaceutiques, aéronautiques et énergétiques. En Afrique, l’Angola possède un potentiel économique exceptionnel et émergent.

Récemment 700 entreprises françaises se sont installées au Portugal, 450 au Brésil, et 70 en Angola. Le tourisme au Portugal ne cesse d’augmenter, et il offre des débouchés considérables dans le secteur de l’hôtellerie , de la restauration, de la banque, des assurances et de la grande distribution.

Le portugais, une langue de culture

Le portugais c’est aussi une langue de culture qui permettra de découvrir 9 pays différents !

Les thématiques abordées sont multiples: la route des épices et les grands navigateurs, les civilisations africaines et brésiliennes, les richesses de l’Amazonie, la rencontre des cultures et leur métissage…

Le portugais, une langue pour voyager

Le portugais est un passeport pour voyager dans de nombreux pays et sur tous les continents : Portugal, Brésil, Angola, Mozambique, Cap-Vert, Guiné-Bissau, São Tomé e Príncipe, Timor, Macao, Goa ….

Le portugais à l’école

C’est une langue latine facile à apprendre car le vocabulaire est proche du français. En ce qui concerne la grammaire, le français et le portugais organisent les phrases dans le même ordre et ont des constructions grammaticales identiques. Cela permet donc de renforcer en cours de langue portugaise la compréhension de sa propre langue : le français.

Le portugais est un atout professionnel qui fera la différence sur un CV, qui permettra de voyager dans de magnifiques pays et de découvrir leur immense richesse culturelle.

Voyage à Lisbonne 2023

Du 13 au 17 mars les élèves de la section bilangue anglais-portugais ont pu découvrir la capitale portugaise. Au programme : la visite de monuments emblématiques, la plupart classés au Patrimoine Mondial de l’Humanité par l’UNESCO et liés pour certains à l’histoire des Grandes Découvertes, des ballades dans les quartiers historiques de la ville, des visites guidées dans plusieurs musées pour découvrir la riche culture portugaise, une dégustation du fameux pastel de nata dans sa version originelle à Belém, l’utilisation des transports en commun avec les lisboètes avec la découverte du Metropolitano de Lisboa agrémenté de nombreuses œuvres d’art en azulejos et même une baignade improvisée dans la petite ville côtière de Cascais !

Torre de Belém, monument emblématique de l’art manuélin situé à l’embouchure du fleuve Tage.
Rencontre dans l’enceinte du château São Jorge avec les élèves de la Escola do Castelo.
Au pied du Monumento dos Descobrimentos en bordure du fleuve dans le quartier de Belém.
Dans le musée du Fado dans le quartier de Alfama.

Inauguration de l’Esplanade Toni Morrison

2 mai 2023 / 11h15

Ce mardi-là, Anas et Fatima-Zohra (4è3) ont eu l’honneur d’être les présentateurs de la cérémonie d’inauguration de l’esplanade qui se trouve juste devant notre collège.

Toni Morrison était une écrivaine américaine qui a marqué son époque grâce à des textes forts pour lesquels elle a reçu le prix Nobel de Littérature.

Madame Fanny Dubot, maire du 7ème arrondissement, Madame Sonia Zdorovtzoff, adjointe au Maire de Lyon, Madame Béatrice Vessilier, vice-présidente de la Métropole de Lyon, et Monsieur Richard Johns, Consul des Etats-Unis, ont tour à tour pris la parole.

Puis des élèves de 4è1 et 4è3, qui avaient répété avec Monsieur Dupont, principal du collège et Madame Autret, professeure d’anglais, ont présenté la biographie de Toni Morrisson.

séance d’entrainement en salle d’anglais
derniers réglages avant le début de la cérémonie

Ajad, Balkiss, Ema, Euphranie, Feriel, Ines et Marwa ont ainsi présenter l’écrivaine et lu quelques citations en français et en anglais devant leur camarades et quelques enseignants.

Monsieur Dupont, Monsieur Carrière, Inspecteur d’académie-DASEN, Madame Dubot, Madame Zdorovtzoff,
et Monsieur Richard Johns après l’inauguration

La cérémonie s’est terminée par l’exposition du travail des élèves (des affiches sur des femmes américaines célèbres, et par une collation.

GRAINES DE LECTEURS : rencontre et écriture avec l’autrice Maïa Brami

La classe de 603 a participé à un projet de longue haleine avec l’autrice Maïa Brami et la classe de CM2 de Maud Drouet, de l’école Marcel Pagnol.

Lors d’une première phase, les élèves ont découvert l’œuvre de l’autrice qu’ils ont ensuite rencontrée le 15/12/2023. Les élèves de 603 ont présenté leur diaporama Genially, visible en cliquant sur le lien suivant :

https://view.genial.ly/6391df93764fc700121de118/interactive-content-clg-gisele-halimi-rencontre-maia-brami-151223

Lors de cette rencontre, Maïa Brami leur a proposé une situation initiale. Les élèves ont ensuite échangé entre classes et avec l’autrice pour écrire la suite.

Voici le résultat de leur travail réalisé avec Book Creator :

https://read.bookcreator.com/sO1h1KT7yzYj1QMWt5pzEzMo3M23/ZjDjlDhxQ5qlq52m2_ObOw/BuPNJol8R1SJ4141UWUPwA

Maïa Brami a même dédicacé la couverture du livre.

Pour la restitution finale du jeudi 15/06/23, les deux classes avaient pour mission d’écrire chacune sa fin et de la présenter à Maïa Brami, qui elle-même a écrit sa fin de l’histoire.

Belle « Fiesta » avec la 401 !

Le jeudi 15/06/2023, les élèves de 401 ont présenté leur mise en voix d’une pièce de théâtre, Fiesta de Gwendoline SOUBLIN.

Dans une version abrégée du texte, ils ont raconté l’histoire de Nono, un petit garçon qui va fêter ses 10 ans et qui a tout prévu, de la liste des invités à la playlist, du goût des gâteaux à la tenue, sans parler du premier baiser… Mais une tempête, Marie-Thérèse, débarque et menace cette fiesta, tant attendue par Nono et sa bande de copains.

Métaphore du confinement, cette pièce permet au spectateur de revivre la crise sanitaire de la COVID 19, à travers le regard d’enfants, tout en explorant les liens d’amitié. Attention au twist final, qui risque de vous secouer…

Si vous souhaitez savoir si la bande de copains réussira à fêter les 10 ans de Nono, allez lire la pièce, elle est disponible au CDI.

Paroles d’élèves (petite compilation) :

« Ça a mal commencé, mais on était de plus en plus à l’aise au fil des répétitions. À la fin on a eu un bon résultat.

On a eu au moins un projet de classe. Notre pari est gagné.

C’était drôle. On était tous impliqués. On était fiers de nous, mais il a fallu que notre prof (dont on ne donnera pas le nom…) nous crie dessus.

Ça m’a fait aimer le théâtre. J’ai bien aimé la pièce et on a bien joué.

Ça permettait de se sentir bien et d’être à sa place. »

Ils sont fous, ces 6e4 !

Dans le cadre d’une séquence d’Anglais qui inclut le présent Be+ing, les élèves non bilingues de 6e4 ont réalisé un « mannequin challenge », imaginant une salle de classe en sauvage !

Bon visionnage !
Mme Rolère.

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Le biathlon : quand l’adrénaline de la course se mêle à la concentration du tir

Cette semaine, les élèves du collège Gisèle Halimi ont eu la chance de s’essayer au biathlon lors de leur cours d’EPS.

Le district de l’UNSS leur a généreusement prêté des pistolets laser et des cibles pour leur permettre de découvrir cette discipline passionnante. Les élèves ont eu l’opportunité de s’initier au tir debout ou couché, et ont ensuite participé à des relais par équipe.

La concentration, l’adresse, la vitesse et l’adrénaline étaient au rendez-vous !

COLLIDRAM PARTIE 3 : Bouquet final, torture ou plaisir ? (suite et fin)

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« On est parti d’une grande pièce de puzzle représentant Jan pour pouvoir raccrocher les autres. Le groupe s’est ensuite divisé pour créer des pièces représentant Forêt, Océan, Rivière et jardin. On a décidé de représenter les différents personnages de Jeunes rivières en paysages. Pour les  pièces, on a utilisé de la gouache, des patrons de feuilles et des photos de paysages dont on s’est inspiré.

Zahra : J’ai bien aimé l’activité car elle était calme, il y avait de la précision « pour certains ».

Léa : Je trouve que le thème de l’activité était vraiment intéressant mais pour que le puzzle soit plus réussi il aurait fallu plus de temps et de matériel.

Anas : Je trouve que l’activité était assez bien, je pouvais m’appliquer sur mon dessin, j’aurais dû en faire un deuxième car j’avais fini le premier dessin assez vite. Je n’aime pas vraiment la peinture !!! »

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« Avec des jeux, nous nous sommes présentés, puis nous avons essayé de créer une illusion, en plaçant des chaises d’une manière spécifique. Nous avons d’abord commencé à tourner avec le téléphone de Nicolas pour répéter, ensuite nous avons réfléchi à ce qu’on allait dire. Nous devions lire des extraits de Jeunes rivières et nous devions parler des moments de notre de vie où on a lu. Quand nous avons terminé, Nicolas a utilisé une  caméra qui coûte plus de 1800 euros, nous avons répété plusieurs fois pour prendre la bonne vidéo. Quand nous avons terminé, la vidéo a été affichée sur un grand écran dans une salle de spectacle. »

Haroun, Rayan et Tarik

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« Au début, Yonnel nous a proposé des activités et plusieurs jeux pour pouvoir nous connaître entre élèves. Mais le but était aussi que l’on soit à l’aise devant le public et dans notre groupe pour savoir gérer notre temps et parler plus fort. Ensuite on a commencé à se distribuer les rôles suivants : Jan, Albius, Marra Bassyn, Frissons de forêt, Louka et on a préparé une interview improvisée où deux journalistes interrogeaient ces personnages.

On a bien aimé notre atelier car on a fait des exercices physiques et on a appris à être moins gênés avec les autres élèves. »

Djanna, Inès, Fatima-Zohra et Malaïka

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« Le cyanotype est une technique de photographie inventée en 1842. Elle consiste  à mélanger du citrate de fer ammoniacal (produit sensible aux UV) et du ferricyanure de potassium et ensuite à l’exposer aux UV pour avoir un résultat.

On avait des feuilles déjà préparées, nous devions ensuite créer les formes que l’on voulait obtenir avec divers objets, des feuilles et même des gouttes d’eau. On les disposait ensuite sur les feuilles prêtes puis on les mettait sous les lampes UV et on attendait 10 minutes le temps que les formes apparaissent et que les produits fassent effet.

En premier nous avons réalisé un des personnages de Jeunes rivières, à base de plantes et de fleurs. Ensuite nous avons fait un pont avec plein de petits objets et d’outils. Après nous sommes allés dehors et nous avons fait la rivière. Et en dernier, un dessin ou une typographie sur Jeune rivières. Ensuite chacun a collé ses productions sur la rivière puis on a assemblé les rivières pour n’en former qu’une seule qu’on a présenté à tous les autres élèves.

Nous avons ensuite pu ramener nos productions chez nous. Nous avons trouvé cette technique amusante et intéressante à pratiquer, nous avons pu laisser cours à notre imagination tout en étant guidé. »

Ajad, Camille, Kémil et Margaux

BRAVO AUX ARTISTES EN HERBE !!!

COLLIDRAM PARTIE 3 : Bouquet final, torture ou plaisir ?

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Lors de la journée du 30/05/2023, au CCVA de Villeurbanne, les élèves de 403 répartis en différents ateliers ont travaillé différents champs artistiques le matin pour réaliser des productions en lien avec la pièce de théâtre Jeunes rivières. Leurs travaux ont été présenté l’après-midi à Paul Francesconi. Voici leurs retours d’expérience…

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« Le 30 mai, on a rejoint l’atelier « Journalisme », qui consistait à préparer des questions pour l’auteur de Jeunes Rivières, Paul Francesconi, et à les lui poser. C’est une journaliste professionnelle qui nous a fait travailler ».

La matinée, avec les autres élèves du groupe nous avons réfléchi aux questions personnelles et professionnelles et celles sur Jeunes Rivières.

A  la fin, nous avons constitué deux groupes de trois personnes pour présenter les deux sujets.

Dix minutes avant la fin de l’atelier, la journaliste nous a donné des conseils pour bien se tenir sur scène, bien articuler, parler fort, sourire pour donner bonne impression, etc. »

Zahra B et Yohanna

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« Au début, Jérémy, le régisseur, qui s’occupe des lumière et du son dans le théâtre, nous a expliqué par où le son passait dans des boîtiers pour aller dans les micros ou enceintes. Après cela, on est monté en haut dans la régie, là où on a une vue panoramique sur la scène. Il nous a aussi expliqué le fonctionnement des tables de mixage, on s’est entraîné, puis quand les autres groupes sont passés sur scène, tout le monde a pu gérer les lumières et un peu le son.

On aurait quand même préféré pouvoir créer plus de mixtes de lumière. Jérémy avait déjà tout composé et il ne nous restait plus qu’à actionner les boutons, mais c’était très drôle et passionnant de changer la couleur des lumières. »

Ludovic, Majdi et William

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« Au début nous étions tous endormis et pas concentrés jusqu’à ce que Anaïs nous propose de faire deux groupes. Le premier groupe devait faire des percussions corporelles sur scène et le deuxième  une bande-son en enregistrant des bruits de forêt, d’eau, de rivière, etc. Ensuite on a fait des percussions corporelles en essayant de caler nos prénoms pour apprendre à nous connaître.

Nous nous sommes remémoré la pièce pour faire des bruitages en rapport avec l’histoire. Pour faire la rivière, on a pris des gobelets avec un gros pot et des cailloux. Pour faire Frissons de forêt, on a pris des tubes, du plastique  et deux bâtons reliés par du caoutchouc. Et quand on les bougeait,  cela faisait le bruit des oiseaux.

Anaïs : J’ai tout aimé.

Maria : Au début, j’étais un peu intimidée ensuite j’ai appris à connaître les autres élèves, ça s’est bien fini et j’ai bien aimé.

Balkiss : J’ai pas aimé le début puis je me suis intéressée à l’activité.

Mohamed E : J’ai pas trop aimé au début car il y a eu un malentendu, on pensait que Véronique allait nous donner des instruments de musique. Mais ensuite je me suis investi et j’ai bien aimé. »

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« Au début, nous avons fait connaissance avec la professeure.

Nous nous sommes ensuite déplacés dans l’espace et avons marché sur le rythme pour nous détendre. Nous avons fait un défilé chacun notre tour en faisant une pose représentant chaque personnage de Jeunes rivières. Ensuite nous avons écrit nos prénoms dans l’espace en faisant des mouvements avec nos pieds, nos coudes, nos genoux, nos épaules et notre nez. Nous avons présenté notre travail lors du spectacle de l’après-midi. 

Au commencement de la séance, nous étions perplexes, mais  à la fin nous avons aimé ce qu’on a fait avec la professeure. »

Edgar, Marco et Mohamed T

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« Arrivées dans la salle, il y avait une table avec des photos disposées sur celle-ci. Il fallait choisir la photo qui représentait notre ressenti à l’arrivée, et comment on appréhendait l’activité. Certains ressentaient de la joie et de l’envie et d’autres n’étaient pas très sûrs de comment ça allait se passer. Ensuite nous devions rédiger toutes les émotions que ressentaient les personnages dans la pièce, nous nous sommes mis par groupes respectifs pour ensuite mettre en scène l’émotion que nous avions choisie. Suite à ça, Diane a pris en photo chaque groupe. Nous avons réalisé plusieurs photos à l’intérieur, puis nous nous sommes rendues dans le parc situé à l’arrière de la médiathèque pour continuer et avoir différents fonds. A midi nous avions mangé dans ce même parc, puis après nous sommes rentrés à l’intérieur et c’est là que nous avons rencontré l’auteur de la pièce et par groupes d’activités nous avons présenté nos œuvres. »

Amina, Ema et Maïmouna

COLLIDRAM PARTIE 2 : Battle royale ou il n’en restera qu’une…

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« Lors de la délibération en classe, il y avait deux intervenants : Yonnel et Élodie. Ils ont présenté des thèmes pour trouver et classer les arguments (écriture, message, mise en scène…). Avant de donner un argument, il fallait réfléchir et préparer la justification,  pendant que les autres donnaient leurs idées.

Chaque élève a défendu  la pièce qu’il préférait et ce n’est pas le nombre de personnes qui a fait gagner la pièce, mais plutôt le nombre d’arguments. Les arguments qui ne fonctionnaient pas étaient ceux qui étaient aussi valables pour les autres pièces. Il fallait donc être précis.

Il y a eu deux tours de table. Pour le 1er tour, Yonnel nous aidait, et pour le le 2e tour, on devait dire tous les arguments qui nous restaient. Le travail a été poursuivi en cours de Français : on a regroupé les idées pour en faire plusieurs paragraphes argumentés et développés.

Les trois pièces avaient environ le même nombre d’arguments et c’est « Grès tentative de sédimentation » qui l’a emporté, même si une majorité de la classe aurait préféré que « Fiesta » gagne. »

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« Le 2 mai a eu lieu la délibération régionale pour défendre la pièce choisie par la classe. Nous étions deux à nous être rendues à Villeurbanne pour défendre Grès Tentative de sédimentation (GTS) contre d’autres classes. Une fois que nous sommes arrivées à la bibliothèque, nous avons revu Yonnel et Élodie, nos intervenants. Ensuite, on nous a expliqué ce qui allait se passer toute la journée.

Pendant la matinée, avec le groupe qui défendait GTS, nous avons mis nos arguments en commun. A midi, nous sommes allés déjeuner, puis l’après-midi le débat a commencé ! C’était l’heure de désigner le grand vainqueur de Collidram. Nous avons argumenté comme tous les autres groupes, plus le nombre de points pour chaque pièce montait, plus l’adrénaline et le stress emportaient chaque classe. Au début tout le monde était bien parti, puis Fiesta est passée en tête. Mais vers la fin la pièce a été devancée par Grès et Jeunes Rivières. Nous en sommes  finalement arrivés aux « tirs au but » entre Grès et Jeunes Rivières… A la fin nous n’avons pas gagné, mais nous étions ex æquo avec Jeunes Rivières. »

Maïmouna et Zahra B