Dans le cadre d’une séquence d’Anglais qui inclut le présent Be+ing, les élèves non bilingues de 6e4 ont réalisé un « mannequin challenge », imaginant une salle de classe en sauvage !
Bon visionnage !
Mme Rolère.
.
Dans le cadre d’une séquence d’Anglais qui inclut le présent Be+ing, les élèves non bilingues de 6e4 ont réalisé un « mannequin challenge », imaginant une salle de classe en sauvage !
Bon visionnage !
Mme Rolère.
.
Cette semaine, les élèves du collège Gisèle Halimi ont eu la chance de s’essayer au biathlon lors de leur cours d’EPS.
Le district de l’UNSS leur a généreusement prêté des pistolets laser et des cibles pour leur permettre de découvrir cette discipline passionnante. Les élèves ont eu l’opportunité de s’initier au tir debout ou couché, et ont ensuite participé à des relais par équipe.
La concentration, l’adresse, la vitesse et l’adrénaline étaient au rendez-vous !
Retrouvez le fruit du travail des élèves membres du club journal en cliquant sur ce lien :
La troupe de théâtre du collège Gisèle Halimi a été montée cette année, avec 23 élèves, toutes classes confondues. Avec la collaboration d’Alexandra Astier, comédienne professionnelle, les élèves se sont confrontés au texte de Shakespeare et ont proposé aux spectateurs des extraits de trois pièces : Roméo et Juliette, Othello et La Nuit des Rois. Mathis NP de 401 est l’auteur des sketchs qui ont introduit chacune des pièces. Et Christine Chareyre, enseignante référente ULIS, est montée sur les planches aux côtés des élèves.
La mise en scène proposée est celle d’une répétition générale, qui permet de voir ce qui se passe en coulisses, avant et pendant le spectacle.
C’est leur spectacle « Si Shakespeare m’était joué… » qui a fait la clôture du Festival de Théâtre Scolaire le vendredi 02/06/2023, à la Maison Ravier.
Merci à Stanislas Foriel, directeur du Théâtre Ravier de nous avoir accueillis !
http://www.compagnie-stanislas-foriel.com/
Merci à Aziz Trabelsi, sans qui le projet Shakespeare ne serait pas né !
____________________
Petit reportage photo, des répétitions jusqu’au spectacle…
Et pour ceux et celles qui nous rejoindront l’an prochain, Le Cid de Corneille, avec un soupçon de ras-el-hanout…
____________________
« On est parti d’une grande pièce de puzzle représentant Jan pour pouvoir raccrocher les autres. Le groupe s’est ensuite divisé pour créer des pièces représentant Forêt, Océan, Rivière et jardin. On a décidé de représenter les différents personnages de Jeunes rivières en paysages. Pour les pièces, on a utilisé de la gouache, des patrons de feuilles et des photos de paysages dont on s’est inspiré.
Zahra : J’ai bien aimé l’activité car elle était calme, il y avait de la précision « pour certains ».
Léa : Je trouve que le thème de l’activité était vraiment intéressant mais pour que le puzzle soit plus réussi il aurait fallu plus de temps et de matériel.
Anas : Je trouve que l’activité était assez bien, je pouvais m’appliquer sur mon dessin, j’aurais dû en faire un deuxième car j’avais fini le premier dessin assez vite. Je n’aime pas vraiment la peinture !!! »
____________________
« Avec des jeux, nous nous sommes présentés, puis nous avons essayé de créer une illusion, en plaçant des chaises d’une manière spécifique. Nous avons d’abord commencé à tourner avec le téléphone de Nicolas pour répéter, ensuite nous avons réfléchi à ce qu’on allait dire. Nous devions lire des extraits de Jeunes rivières et nous devions parler des moments de notre de vie où on a lu. Quand nous avons terminé, Nicolas a utilisé une caméra qui coûte plus de 1800 euros, nous avons répété plusieurs fois pour prendre la bonne vidéo. Quand nous avons terminé, la vidéo a été affichée sur un grand écran dans une salle de spectacle. »
Haroun, Rayan et Tarik
____________________
« Au début, Yonnel nous a proposé des activités et plusieurs jeux pour pouvoir nous connaître entre élèves. Mais le but était aussi que l’on soit à l’aise devant le public et dans notre groupe pour savoir gérer notre temps et parler plus fort. Ensuite on a commencé à se distribuer les rôles suivants : Jan, Albius, Marra Bassyn, Frissons de forêt, Louka et on a préparé une interview improvisée où deux journalistes interrogeaient ces personnages.
On a bien aimé notre atelier car on a fait des exercices physiques et on a appris à être moins gênés avec les autres élèves. »
Djanna, Inès, Fatima-Zohra et Malaïka
____________________
« Le cyanotype est une technique de photographie inventée en 1842. Elle consiste à mélanger du citrate de fer ammoniacal (produit sensible aux UV) et du ferricyanure de potassium et ensuite à l’exposer aux UV pour avoir un résultat.
On avait des feuilles déjà préparées, nous devions ensuite créer les formes que l’on voulait obtenir avec divers objets, des feuilles et même des gouttes d’eau. On les disposait ensuite sur les feuilles prêtes puis on les mettait sous les lampes UV et on attendait 10 minutes le temps que les formes apparaissent et que les produits fassent effet.
En premier nous avons réalisé un des personnages de Jeunes rivières, à base de plantes et de fleurs. Ensuite nous avons fait un pont avec plein de petits objets et d’outils. Après nous sommes allés dehors et nous avons fait la rivière. Et en dernier, un dessin ou une typographie sur Jeune rivières. Ensuite chacun a collé ses productions sur la rivière puis on a assemblé les rivières pour n’en former qu’une seule qu’on a présenté à tous les autres élèves.
Nous avons ensuite pu ramener nos productions chez nous. Nous avons trouvé cette technique amusante et intéressante à pratiquer, nous avons pu laisser cours à notre imagination tout en étant guidé. »
Ajad, Camille, Kémil et Margaux
BRAVO AUX ARTISTES EN HERBE !!!
____________________
Lors de la journée du 30/05/2023, au CCVA de Villeurbanne, les élèves de 403 répartis en différents ateliers ont travaillé différents champs artistiques le matin pour réaliser des productions en lien avec la pièce de théâtre Jeunes rivières. Leurs travaux ont été présenté l’après-midi à Paul Francesconi. Voici leurs retours d’expérience…
______________________________
« Le 30 mai, on a rejoint l’atelier « Journalisme », qui consistait à préparer des questions pour l’auteur de Jeunes Rivières, Paul Francesconi, et à les lui poser. C’est une journaliste professionnelle qui nous a fait travailler ».
La matinée, avec les autres élèves du groupe nous avons réfléchi aux questions personnelles et professionnelles et celles sur Jeunes Rivières.
A la fin, nous avons constitué deux groupes de trois personnes pour présenter les deux sujets.
Dix minutes avant la fin de l’atelier, la journaliste nous a donné des conseils pour bien se tenir sur scène, bien articuler, parler fort, sourire pour donner bonne impression, etc. »
Zahra B et Yohanna
____________________
« Au début, Jérémy, le régisseur, qui s’occupe des lumière et du son dans le théâtre, nous a expliqué par où le son passait dans des boîtiers pour aller dans les micros ou enceintes. Après cela, on est monté en haut dans la régie, là où on a une vue panoramique sur la scène. Il nous a aussi expliqué le fonctionnement des tables de mixage, on s’est entraîné, puis quand les autres groupes sont passés sur scène, tout le monde a pu gérer les lumières et un peu le son.
On aurait quand même préféré pouvoir créer plus de mixtes de lumière. Jérémy avait déjà tout composé et il ne nous restait plus qu’à actionner les boutons, mais c’était très drôle et passionnant de changer la couleur des lumières. »
Ludovic, Majdi et William
____________________
« Au début nous étions tous endormis et pas concentrés jusqu’à ce que Anaïs nous propose de faire deux groupes. Le premier groupe devait faire des percussions corporelles sur scène et le deuxième une bande-son en enregistrant des bruits de forêt, d’eau, de rivière, etc. Ensuite on a fait des percussions corporelles en essayant de caler nos prénoms pour apprendre à nous connaître.
Nous nous sommes remémoré la pièce pour faire des bruitages en rapport avec l’histoire. Pour faire la rivière, on a pris des gobelets avec un gros pot et des cailloux. Pour faire Frissons de forêt, on a pris des tubes, du plastique et deux bâtons reliés par du caoutchouc. Et quand on les bougeait, cela faisait le bruit des oiseaux.
Anaïs : J’ai tout aimé.
Maria : Au début, j’étais un peu intimidée ensuite j’ai appris à connaître les autres élèves, ça s’est bien fini et j’ai bien aimé.
Balkiss : J’ai pas aimé le début puis je me suis intéressée à l’activité.
Mohamed E : J’ai pas trop aimé au début car il y a eu un malentendu, on pensait que Véronique allait nous donner des instruments de musique. Mais ensuite je me suis investi et j’ai bien aimé. »
____________________
« Au début, nous avons fait connaissance avec la professeure.
Nous nous sommes ensuite déplacés dans l’espace et avons marché sur le rythme pour nous détendre. Nous avons fait un défilé chacun notre tour en faisant une pose représentant chaque personnage de Jeunes rivières. Ensuite nous avons écrit nos prénoms dans l’espace en faisant des mouvements avec nos pieds, nos coudes, nos genoux, nos épaules et notre nez. Nous avons présenté notre travail lors du spectacle de l’après-midi.
Au commencement de la séance, nous étions perplexes, mais à la fin nous avons aimé ce qu’on a fait avec la professeure. »
Edgar, Marco et Mohamed T
____________________
« Arrivées dans la salle, il y avait une table avec des photos disposées sur celle-ci. Il fallait choisir la photo qui représentait notre ressenti à l’arrivée, et comment on appréhendait l’activité. Certains ressentaient de la joie et de l’envie et d’autres n’étaient pas très sûrs de comment ça allait se passer. Ensuite nous devions rédiger toutes les émotions que ressentaient les personnages dans la pièce, nous nous sommes mis par groupes respectifs pour ensuite mettre en scène l’émotion que nous avions choisie. Suite à ça, Diane a pris en photo chaque groupe. Nous avons réalisé plusieurs photos à l’intérieur, puis nous nous sommes rendues dans le parc situé à l’arrière de la médiathèque pour continuer et avoir différents fonds. A midi nous avions mangé dans ce même parc, puis après nous sommes rentrés à l’intérieur et c’est là que nous avons rencontré l’auteur de la pièce et par groupes d’activités nous avons présenté nos œuvres. »
Amina, Ema et Maïmouna
____________________
« Lors de la délibération en classe, il y avait deux intervenants : Yonnel et Élodie. Ils ont présenté des thèmes pour trouver et classer les arguments (écriture, message, mise en scène…). Avant de donner un argument, il fallait réfléchir et préparer la justification, pendant que les autres donnaient leurs idées.
Chaque élève a défendu la pièce qu’il préférait et ce n’est pas le nombre de personnes qui a fait gagner la pièce, mais plutôt le nombre d’arguments. Les arguments qui ne fonctionnaient pas étaient ceux qui étaient aussi valables pour les autres pièces. Il fallait donc être précis.
Il y a eu deux tours de table. Pour le 1er tour, Yonnel nous aidait, et pour le le 2e tour, on devait dire tous les arguments qui nous restaient. Le travail a été poursuivi en cours de Français : on a regroupé les idées pour en faire plusieurs paragraphes argumentés et développés.
Les trois pièces avaient environ le même nombre d’arguments et c’est « Grès tentative de sédimentation » qui l’a emporté, même si une majorité de la classe aurait préféré que « Fiesta » gagne. »
__________________________________
« Le 2 mai a eu lieu la délibération régionale pour défendre la pièce choisie par la classe. Nous étions deux à nous être rendues à Villeurbanne pour défendre Grès Tentative de sédimentation (GTS) contre d’autres classes. Une fois que nous sommes arrivées à la bibliothèque, nous avons revu Yonnel et Élodie, nos intervenants. Ensuite, on nous a expliqué ce qui allait se passer toute la journée.
Pendant la matinée, avec le groupe qui défendait GTS, nous avons mis nos arguments en commun. A midi, nous sommes allés déjeuner, puis l’après-midi le débat a commencé ! C’était l’heure de désigner le grand vainqueur de Collidram. Nous avons argumenté comme tous les autres groupes, plus le nombre de points pour chaque pièce montait, plus l’adrénaline et le stress emportaient chaque classe. Au début tout le monde était bien parti, puis Fiesta est passée en tête. Mais vers la fin la pièce a été devancée par Grès et Jeunes Rivières. Nous en sommes finalement arrivés aux « tirs au but » entre Grès et Jeunes Rivières… A la fin nous n’avons pas gagné, mais nous étions ex æquo avec Jeunes Rivières. »
Maïmouna et Zahra B
——————————-
Collidram est un projet qui a jalonné toute l’année scolaire de la classe de 403. Les élèves ont découvert trois pièces de théâtre, depuis « l’apéro » du 01/12/2022, pour reprendre l’expression d’Élodie Nosjean, la comédienne qui est intervenue, jusqu’au 30/05/2023, jour de la restitution finale durant laquelle les élèves ont rencontré le gagnant du prix Collidram, Paul Francesconi, l’auteur de Jeunes rivières.
Les trois pièces ont été lues en décembre, en janvier et en mars. Voici le retour d’expérience des élèves :
« Fiesta de Gwendoline Soublin, c’est l’histoire de Nono qui voulait à tout prix faire une grande fiesta pour ses 10 ans. Il organise son anniversaire depuis longtemps et il a tout prévu, mais juste avant de le fêter, une énorme tempête qui symbolise la crise sanitaire du COVID empêche tout le monde de sortir et il se retrouve confiné. Mais ses amis et lui trouvent un moyen assez spécial de maintenir la fiesta. Malheureusement, on apprend des années plus tard que Nono a succombé à une maladie du cerveau et qu’il n’a jamais eu 11 ans.
C’est la première pièce que nous avons lue en classe. Nous avons pu tous la lire à voix haute car on ne sait pas vraiment qui parle. Après la lecture de Fiesta, on a rencontré une comédienne, Élodie, qui nous a réexpliqué la pièce pour être sûre qu’on avait compris et on a aussi pu la jouer avec son aide et notre imagination, certains participaient en tant que comédiens et d’autres en tant que metteurs en scène.
C’est une pièce qui a beaucoup plu à la classe et nous pensions gagner lors de la délibération en classe car nous étions beaucoup plus nombreux. »
____________________
« Nous avons travaillé sur une pièce de théâtre nommée Jeunes rivières de Paul Francesconi. Elle aborde les questions des liens entres parents et enfants, elle parle de l’esclavage, avec une écriture poétique.
Jan est un enfant ayant une maladie au cœur. Sa mère, Mara, est alcoolique et doit l’élever seule. Jan étant fragile, sa mère refuse catégoriquement qu’il sorte trop loin dans le jardin. Mais un jour il va tomber sur une fougère devenue humaine, Louka, qui cherche à tuer la mère de Jan. Ils communiquent difficilement au début, surtout lorsqu’elle lui explique l’histoire du domaine du Jan. C’est anciennement un domaine esclavagiste et les esclaves qui ont réussi à traverser le domaine se sont transformés en arbres. La rivière a la possibilité de prendre forme humaine, c’est le personnage d’Albius qui sert de majordome à la mère, mais aussi de père à Jan. A la fin de la pièce, il se sacrifie pour permettre aux deux enfants d’échapper à la haine des deux familles et de rejoindre l’océan. »
___________________
« Grès Tentative de Sédimentation est une pièce se passant au moment de la naissance du mouvement des Gilets jaunes. L’auteur du livre, Guillaume Cayet, écrit avec un langage familier et parle de sujets actuels. Le texte est écrit à la première personne car c’est le personnage principal qui parle. Mais dans les memorandums, on trouve de l’écriture inclusive.
Au début le personnage principal, un vigile, mène une vie tranquille et banale. Il ne veut pas avoir de problèmes, il ne veut pas perdre son travail. Son patron lui demande de trouver la personne qui vole dans son magasin avec la complicité de Moha et Aziz, ses collègues vigiles. Mais au fil de la pièce, une fois que sa femme a perdu son emploi et qu’elle a été arrêtée pour avoir manifesté, le héros change. Et on comprend même que le complice des deux vigiles, c’est lui ! Il finit par rejoindre le mouvement des gilets jaunes et c’est lui qui conduit le car pour Paris, à l’occasion de la première manifestation. «
Les classes de 5ème4 et de 6ème2 se sont glissées dans la peau d’explorateur.ice.s et sont
parti.e.s à la découverte d’une planète aquatique totalement inconnue… Plusieurs élèves sont venu.e.s présenter leurs découvertes en public, dans le grand amphithéâtre du musée des Confluences. Retrouvez le récit illustré de leur fabuleux périple dans le carnet d’exploration rédigé par chaque classe.
Mais avant d’embarquer, les élèves ont visité l’exposition « Nous les fleuves » au musée
des Confluences afin de plonger dans la vie des fleuves, suivre leurs voyages et écouter les mille et une histoires qu’ils charrient. Au mois de février, Léah Touitou, une autrice illustratrice passionnée de voyages, est venue en classe pour initier les élèves à l’art du carnet d’exploration.
Mission : décrire, en mots et en image, une planète inconnue en lien avec les forces de l’eau.
Alors… prêt.e.s à monter à bord ?
Premier voyage avec les 5ème4 : À la découverte d’une île appelée L’eau aux mille couleurs
Sur cette île à la géographie variée, cascades de glace, mangroves marécageuses, sources
souterraines et mer rose se déploient en de beaux paysages colorés. L’une des traditions de l’île repose sur des jeux organisés chaque année. Le gagnant ou la gagnante de ces festivités remporte un prix de choix : le fruit qui pousse sur l’arbre-jeu… un fruit pas comme les autres puisqu’il offre à la personne qui le reçoit un pouvoir particulier ! Pour en savoir plus, feuilleter le carnet de L’Eau aux mille couleurs !
Deuxième voyage avec les 6ème 2 : en route pour Trifluvia, la planète aux trois fleuves
Imaginez une planète fluviale, habitée par un peuple aux allures de poulpe, irriguée par
trois fleuves se rejoignant en un lac hanté par un monstre de larmes. Voici le décor de la
planète. Imaginez maintenant un fruit d’eau un peu magique, capable de guérir, de prendre des goûts incroyables, de favoriser la télépathie et aussi… de se transformer en dangereux prédateur au contact du monstre de larmes. Attention, en feuilletant le carnet, à ne pas vous faire mordre par un pirafruit !